zhouhaiho's blog: "zhouhaihong"

Pour Hemingway la meilleure façon de passer un cyclone était avec une bouteille de rhum sous la main, après sécuriser les portes et les fenêtres avec des planches et des clous. C'est peut-être une façon qui ne résout pas tous les problèmes, mais éviter de penser à quelques-uns lampe torche pour portable.
Malgré le temps écoulé depuis la découverte de l'Amérique, les tempêtes tropicales n'ont pas complètement perdu leur caractère exotique. Ils créent la peur et même la panique. Ils produisent également un mélange d'impuissance et de défiance conduisant à stocker des choses nécessaires et inutiles, de l'eau à jambon et les saucisses que s'il n'est pas consommé rapidement fin pourri quelques jours de l'électricité manque.
Ils nous rendent plus dépendants des autres (les sauveteurs, les pompiers, la police, les équipes de nettoyage, des lignes réparateurs électriques et des systèmes de communication), mais aussi susciter le désir de protéger leurs propres moyens sont achetés bougies, lampes de poche, des piles et jusqu'à un boîtier générateur électrique, si assez d'argent.
Dans les tempêtes tropicales et les ouragans sont d'année en année et quand il devient nécessaire de ré-émettre des ordres d'évacuation obligatoire, imposer des couvre-feux et obtenir davantage de policiers dans la rue.
Le passage d'un ouragan est fortuite, inévitable et incertain. Peu importe les avancées technologiques, tout cyclone peut vous surprendra par son voyage. Le plus que est venu d'étendre homme attend. Parce que quand il sera venu, il ne devrait prendre refuge. L'ensemble du dispositif des services d'urgence des collectivités locales, prévoit toutes les quelques heures, donnant des conférences de presse et les politiciens journalistes de la télévision informant trempés par la pluie, leurs corps souffrent le vent fouetter, est de nous aider dans notre la solitude avant la tempête.
Un cyclone fait nous sentir petit, faible, abandonné. C'est démonstration de force de la nature ouvre des possibilités pour aider les hommes, et aussi engagés dans le pillage. Nous sommes meilleur et le pire. Une tragédie pour les uns et une aubaine pour les autres. La pauvreté et l'opportunité. Loss and Gain.
Cause de naufrages, une tempête tropicale commence et le titre de la dernière pièce de Shakespeare, et lance un débat culturel et politique qui survit aujourd'hui. Mais ni elle ni son équivalent dans les antipodes, le typhon, qui a servi pour un roman de Joseph Conrad atteindre les inondations grandeur biblique ou de la fréquence de tempête de neige littéraire.
L'ouragan est une chose des dieux primitifs, comme la question de l'ethnologue cubain Fernando Ortiz et seulement capable d'effrayer le gangster Johnny Rocco baisse à Key Largo.
Non pas que le nombre de décès causés par les cyclones est négligeable, mais il aura tendance à s'associer avec les îles, les nations en développement et les pays pauvres.
États-Unis seulement occasionnellement rompt ce lien. Pas toujours: des centaines d'Américains qui sont morts en 1935, principalement dans les Keys Matecumbe, étaient des vétérans de la Première Guerre mondiale, les pauvres diables qui ont travaillé sur la construction de l'autoroute conçu pour unir clés Floridiens avec le continent, dans le cadre d'un projet fédéral de lutte contre la misère causée par le ralentissement économique.
Une maison mobile, un toit de tuiles, une maison en bois: tous disparaître. Comme les tremblements de terre, mais avec moins de surprise et de l'indifférence, le cyclone est intrinsèquement classiste.
Pour cette raison, préférez un William Faulkner inondations et le Mississippi sa connexion avec le déluge à l'une des histoires entrelacées des nouvelles LasPalmeras sauvages. La relation entre le prisonnier et le phénomène naturel qui est à la fois la libération circonstancielle vous amener à devenir un héros et un obstacle temporaire en face de son désir de retourner en prison, libre de toute responsabilité: où a paradoxalement adaptée à vivre et à se sentir en sécurité, a un caractère existentiel qui va au-delà de la question sociale.